Avec l’année 2021 qui se profile dans les même conditions que 2020, il faut se demander si Armatis Poitiers va aussi bien que l’ont veut nous le faire croire.
Explications : depuis l’année dernière, entre le départ de certains de nos donneurs d’ordres historiques et la fuite en avant de certains cadres, il reste à déplorer une ambiance plutôt malsaine. Le reste des cadres se retrouve à cumuler toujours plus de travail au détriment de leur temps, tout cela dans le but de faire toujours plus d’économie. Cela provoque donc des remaniements d’équipe où un superviseur se retrouve à devoir s’occuper de toujours plus de conseillers sans rien dire.
Ne parlons pas des CHFQ qui aux dires de certains ne sont pas utiles dans le management des équipes alors que certains se sont retrouvés, au moment du 1er confinement, à gérer une équipe le temps que les superviseurs ne soient plus en chômage partiel.
La question est : la direction considère-t-elle la formation des salariés comme le gouvernement avec la Culture : « non essentielle » ?
Qui dit nouvelle année dit, bien sûr, les vœux de notre cher PDG M. Akriche qui nous remercie et se vante qu’il n’a fallu que trois mois à l’entreprise pour revenir à un niveau d’activité et être à l’équilibre financier.
La CGT trouve ce remerciement bien futile. Rien de concret pour les salariés. Il est vrai qu’il vaut mieux rémunérer les actionnaires plutôt que de revaloriser les salaires de tout le monde.
A quand une véritable augmentation au vu du travail fourni ?